Le scribe traçait avec minutie les caractères divins sur le parchemin, l’encre noire s’imprégnant mollement dans le fin papyrus. Chaque ouverture, il consignait les noms des dirigeants, des généraux et des portrait importantes de Carthage, s’assurant que leur vies ne tombe jamais dans l’oubli. Mais chaque matin, lorsqu’il déroul